mardi 17 décembre 2019
lundi 16 décembre 2019
mercredi 4 décembre 2019
mardi 3 décembre 2019
lundi 25 novembre 2019
dimanche 24 novembre 2019
25 NOVEMBRE.
LES CONTES
La manière de nous comporter dans la société, notre façon de nous relationner et nos schémas de pensée sont conditionnés par beaucoup de facteurs: culturels, religieux, politiques, etc. La littérature, en tant qu’instrument pour transmettre des idées, a aussi contribué à l’heure de mettre en place les “rôles de genre” et ainsi nourrir la culture machiste. Au siècle des Lumières ou de la Raison le philosophe Jean Jacques Rousseau dans son oeuvre Émile ou de l’Éducation, un manuel expliquant comment éduquer le parfait citoyen, expose dans les termes suivants le rôle de la femme dans la société:
La femme et l’homme sont faits l’un pour l’autre, mais leur mutuelle dépendance n’est pas égale : les hommes dépendent des femmes par leurs désirs ; les femmes dépendent des hommes et par leurs désirs et par leurs besoins ; nous subsisterions plutôt sans elles qu’elles sans nous. [...]
Ainsi toute l’éducation des femmes doit être relative aux hommes. Leur plaire, leur être utiles, se faire aimer et honorer d’eux, les élever jeunes, les soigner grands, les conseiller, les consoler, leur rendre la vie agréable et douce : voilà les devoirs des femmes dans tous les temps, et ce qu’on doit leur apprendre dès leur enfance. Tant qu’on ne remontera pas à ce principe, on s’écartera du but, et tous les préceptes qu’on leur donnera ne serviront de rien pour leur bonheur ni pour le nôtre.
Les contes, tels qu’on les connaît au XXème et XXème siècles grâce aux films de Disney, n’ont fait que figer et promouvoir les inégalités hommes-femmes et les “rôles de genre” en utilisant l’amour -faire appel aux sentiments les plus profonds et primitifs est un très puissant instrument de persuasion- comme sujet principal. La belle et naïve princesse sauvée par le prince charmant en est le plus clair et récurrent exemple.
Dans ces histoires la femme, même si elle est la protagoniste du récit ou du film, elle ne l’est pas de sa vie à elle et elle a encore moins la capacité de décider sur celle-ci et sa destinée. La société -ses parents, les dieux, la bonne fée, etc- a déjà décidé à sa place avant de naître quel sera son rôle: épouse soumise et mère heureuse. La violence machiste rencontre alors dans ce genre de discours un allié sans égal pour perpétuer certains comportements et idées machistes que les femmes entreprenons dans nos relations amoureuses.
Parce que dire non au prince charmant suppose l’effondrement de l’ordre établi depuis longtemps, parce que dans l’imaginaire collectif le fait que le prince embrasse sans consentement préalable la Belle Dormant n’est pas quelque chose de méchant, parce que le fait que Blanche Neige travaille jour et nuit pour sept hommes on ne le considère pas comme de l’esclavage, parce que Belle nous a appris que même si Bête est violent - il l’enferme, lui crie dessus, la fait pleurer, etc- grâce à sa considérable patience, sa soumission et amours infinies il finit par changer et devient le prince charmant parfait, aimable, affectueux… Combien de fois on a entendu ce discours? Combien de fois Belle nous a appelé pour nous raconter que Bête a regardé son téléphone et est devenu jaloux? Combien de fois on a vu pleurer Belle? Combien de Belles sont toujours enfermées dans un château et combien y ont été assassinées? Combien de Belles y-a-t-il dans le monde?
Levantémonos sobre la Tierra, sintamos nuestras raíces,
escuchemos las voces de las que saben, de nuestra sangre.
Acariciemos la matriz de las que fueron
de las que somos y de las que seremos;
curemos el dolor de las que fuimos, de las que somos
y de las que quizá, ojalá, nunca más serán.
Porque somos las hijas de la Luna que nos robaron,
la luz del Sol que quisieron apagar
Virginia Gómez de la Fuente
LES PRINCES NUS
Parfois les princes, brusquement ou peu à peu, se retrouvent nus: sans les chaussures si belles qui leur procuraient tant d’assurance en marchant, sans la couronne qu’ils arboraient avec tant de fièrté et sans les galons qui ornaient avec orgueil leur poitrine et qui leur avaient coûté tant de vains efforts.
Parfois même ils se retrouvent sans voix, non pas qu’ils ne puissent pas parler sinon que leurs mots sont si vides qu’ils ont perdu lentement le son et l’odeur de rose qu’ils dégageaient auparavant.
Les princes perdent même leur coeur parce qu’ils ont cru s’en être trop servi alors qu’en réalité ils ne savent ni comment ni où il est , ils ne connaissent pas son odeur, ne savent s’il sourit ou s’il pleure quand on le caresse.
Les princes croient garder des secrets qui en fait n’existent pas mais ils sont convaincus de les avoir découverts et ils les conservent dans un coffre doré qu’ils dévoilent de temps en temps.
En certaines occasions ils enfourchent leur cheval avec l’intention d’attrapper la lune et le soleil et de les ramener sur Terre mais bien vite ils doivent y renoncer sans même avoir compris que les astres ne brillent pas uniquement dans le ciel.
Parfois les princes se sentent seuls et perdus et cherchent des princesses sans savoir qu’elles n’existent pas, qu’il y a longtemps que la Terre a décidé qu’ils n’avaient pas besoin d’elles. Mais leur désir de les trouver est si fort qu’ils les dessinent avec des caresses, des baisers d’encre invisible et les habillent avec de belles robes et des couronnes de fleurs. Et quand ils réalisent que la princesse a disparu car elle n’existait pas vraiment ils restent bouche bée devant le vide qu’ils ont eux mêmes peint.
Parfois les princes se cachent pour qu’on ne découvre pas leurs pouvoirs et ils se déguisent de mots et de regards aussi beaux que l’arc-en-ciel; ils jouent derrière les arbres et essaient de se cacher mais leur fausse cape d’hermine est si grande qu’on les découvre toujours.
Parfois les princes s’obstinent à écrire des contes, vivre dans des châteaux, lutter contre les dragons, conquérir des princesses… mais bientôt les lettres du récit disparaissent, s’évanouissent et alors ils sortent en courant, apeurés, sans réaliser qu’ils ont perdu leurs habits et qu’ils errent tout nus de par le monde.
Virginia Gómez de la Fuente
TEXTE EN ESPAGNOL
Parfois les princes, brusquement ou peu à peu, se retrouvent nus: sans les chaussures si belles qui leur procuraient tant d’assurance en marchant, sans la couronne qu’ils arboraient avec tant de fièrté et sans les galons qui ornaient avec orgueil leur poitrine et qui leur avaient coûté tant de vains efforts.
Parfois même ils se retrouvent sans voix, non pas qu’ils ne puissent pas parler sinon que leurs mots sont si vides qu’ils ont perdu lentement le son et l’odeur de rose qu’ils dégageaient auparavant.
Les princes perdent même leur coeur parce qu’ils ont cru s’en être trop servi alors qu’en réalité ils ne savent ni comment ni où il est , ils ne connaissent pas son odeur, ne savent s’il sourit ou s’il pleure quand on le caresse.
Les princes croient garder des secrets qui en fait n’existent pas mais ils sont convaincus de les avoir découverts et ils les conservent dans un coffre doré qu’ils dévoilent de temps en temps.
En certaines occasions ils enfourchent leur cheval avec l’intention d’attrapper la lune et le soleil et de les ramener sur Terre mais bien vite ils doivent y renoncer sans même avoir compris que les astres ne brillent pas uniquement dans le ciel.
Parfois les princes se sentent seuls et perdus et cherchent des princesses sans savoir qu’elles n’existent pas, qu’il y a longtemps que la Terre a décidé qu’ils n’avaient pas besoin d’elles. Mais leur désir de les trouver est si fort qu’ils les dessinent avec des caresses, des baisers d’encre invisible et les habillent avec de belles robes et des couronnes de fleurs. Et quand ils réalisent que la princesse a disparu car elle n’existait pas vraiment ils restent bouche bée devant le vide qu’ils ont eux mêmes peint.
Parfois les princes se cachent pour qu’on ne découvre pas leurs pouvoirs et ils se déguisent de mots et de regards aussi beaux que l’arc-en-ciel; ils jouent derrière les arbres et essaient de se cacher mais leur fausse cape d’hermine est si grande qu’on les découvre toujours.
Parfois les princes s’obstinent à écrire des contes, vivre dans des châteaux, lutter contre les dragons, conquérir des princesses… mais bientôt les lettres du récit disparaissent, s’évanouissent et alors ils sortent en courant, apeurés, sans réaliser qu’ils ont perdu leurs habits et qu’ils errent tout nus de par le monde.
Virginia Gómez de la Fuente
TEXTE EN ESPAGNOL
jeudi 14 novembre 2019
lundi 11 novembre 2019
vendredi 8 novembre 2019
LE SURRÉALISME
Salvador Dalí La persistencia de la memoria
Magritte La trahison des images
PLUS D'INFORMATION CLIQUE education.francetv.fr www.ac-clermont.fr
EXPLICATION À IMPRIMMER
QUESTIONS SUR LA VIDÉO ICI
LE CADAVRE EXQUIS
Magritte La trahison des images
PLUS D'INFORMATION CLIQUE education.francetv.fr www.ac-clermont.fr
EXPLICATION À IMPRIMMER
QUESTIONS SUR LA VIDÉO ICI
mardi 5 novembre 2019
CYPRIEN - LES INSTAGRAMEUSES
2. Pourquoi on peut affirmer que dans la vidéo il y a des stéreotypes de genre?
3. Quel est ton avis sur les réseaux sociaux? Tu t'en sers dans ta vie quotidienne? Combien d'heures par jour tu passes devant l'ordinateur ou avec ton téléphone? Pourrais tu passer une journée sans réseaux sociaux?
lundi 4 novembre 2019
PRÉPOSITIONS PAR/POUR DIFFÉRENCE
Pour ou Par
1. J'y vais deux ans
2. Ils ne répondent pas téléphone
3. Il me doit 2 euros la boisson
4. Je suis venu vous aider
5. Elle l'a rencontré hasard
6. Il reste chez nous quelques jours
7. Elle gagne 2000€ semaine
8. Pour aller à Paris, je passe Rennes
9. C'est une musique les jeunes
10. moi, ce n'est pas possible
2. Ils ne répondent pas téléphone
3. Il me doit 2 euros la boisson
4. Je suis venu vous aider
5. Elle l'a rencontré hasard
6. Il reste chez nous quelques jours
7. Elle gagne 2000€ semaine
8. Pour aller à Paris, je passe Rennes
9. C'est une musique les jeunes
10. moi, ce n'est pas possible
EXPLICATION ET ACTIVITÉS
ACTIVITÉS
mardi 15 octobre 2019
lundi 14 octobre 2019
jeudi 3 octobre 2019
lundi 30 septembre 2019
lundi 23 septembre 2019
Pourquoi un journal s'appelle-t-il aussi un "canard" ?
Pourquoi un journal s'appelle-t-il aussi un "canard" ?
Jusqu'au XIIIe siècle, le mot ''canard'' ne désignait pas l'animal mais était un surnom péjoratif que l'on donnait aux individus trop bavards.
Par extension, ce nom fut donné au journal, faisant référence aux journalistes qui relatent des évènements.
Origine du nom du journal ''Le canard enchaîné'' :
Son nom est une référence au journal ''L'Homme Libre'', édité par Georges Clemenceau, qui critiquait ouvertement le gouvernement de l'époque. Ce journal dut alors subir la censure, et son nom fut changé en ''L'Homme Enchainé'' puis par la suite ''Le Canard Enchaîné''.
jeudi 19 septembre 2019
jeudi 12 septembre 2019
jeudi 6 juin 2019
BEN L'ONCLE SOUL -ÊTRE UN HOMME COMME VOUS.
Vivre dans la jungle avec les personnages du dessin animé duLivre de la Jungle.
Décrire ses activités quotidiennes dans la jungle ou chez les hommes.
Décrire ses activités quotidiennes dans la jungle ou chez les hommes.
jeudi 16 mai 2019
mercredi 8 mai 2019
lundi 6 mai 2019
jeudi 2 mai 2019
PROUST: LA MADELEINE ET LA MÉMOIRE
L'écrivain Marcel Proust (1871-1922) explique dans son oeuvre La Recherche du Temps Perdu sa théorie de la madeleine.
La Madeleine cristallise la théorie proustienne de la mémoire : enfant, sa tante donnait à Marcel de petites madeleines trempées dans du thé. Adulte, il se rend compte que le fait de manger à nouveau une madeleine fait resurgir le contexte de son enfance.
La madeleine et la mémoire :
La madeleine est le symbole de ce passé qui surgit de manière involontaire. Quand il mange la madeleine les souvenirs de son enfance viennent a sa mémoire grâce à l'odeur, la saveur c'est à dire grâce aux sensations. Un paysage, une saveur, un objet etc vont déclancher dans notre cerveau un souvenir.
Il y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n’était pas le théâtre et le drame de mon coucher n’existait plus pour moi, quand un jour d’hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j’avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d’abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblaient avoir été moulées dans la valve rainurée d’une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d’un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de madeleine. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m’avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. Il m’avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu’opère l’amour, en me remplissant d’une essence précieuse: ou plutôt cette essence n’était pas en moi, elle était moi. J’avais cessé de me sentir médiocre, contingent, mortel. D’où avait pu me venir cette puissante joie ? Je sentais qu’elle était liée au goût du thé et du gâteau, mais qu’elle le dépassait infiniment, ne devait pas être de même nature. D’où venait-elle ? Que signifiait-elle ? Où l’appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième qui m’apporte un peu moins que la seconde. Il est temps que je m’arrête, la vertu du breuvage semble diminuer. Il est clair que la vérité que je cherche n’est pas en lui, mais en moi. Il l’y a éveillée, mais ne la connaît pas, et ne peut que répéter indéfiniment, avec de moins en moins de force, ce même témoignage que je ne sais pas interpréter et que je veux au moins pouvoir lui redemander et retrouver intact, à ma disposition, tout à l’heure, pour un éclaircissement décisif. Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C’est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, toutes les fois que l’esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. Il est en face de quelque chose qui n’est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière.
ADAPTATION
MA MADELEINE À MOI
Nous avons tous notre petite boîte de souvenirs et de même que l'écrivain Proust nous aussi nous avons notre "madeleine" à nous. C'est à dire un objet, une odeur, une saveur, une couleur etc qui déclanche dans notre cerveau des souvenirs qui nous relient à notre passé, à notre enfance. Une chanson qui nous transporte aux fêtes pendant les vacances d'été dans notre village, un parfum qui nous fait penser à quelqu'un, un plat qui nous rappelle le repas de Noël en famille...
Ma passion pour les chats remonte à mon enfance. Quand j'étais petite j'habitais dans une maison avec beaucoup d'espaces verts où il y avait beaucoup de chats. Je les adorais et je passais mon temps à jouer avec eux et maintenant chaque fois que je caresse Zoumba -cette petite boule de poils qui me tient compagnie-, chaque fois que je l'entend ronronner blottie sur mes jambes, viennent à moi plein de souvenirs de mon enfance: l'été au bord de la piscine, les promenades en vélo, marcher pieds nus sur la pelouse, les soirées d'été où on cherchait des lucioles... Mais elle me fait penser surtout à tous ces petits chats qui tourneaient autour de moi, qui me suivaient de partout et avec qui je passais mon temps à jouer.
lundi 29 avril 2019
vendredi 26 avril 2019
vendredi 12 avril 2019
lundi 18 mars 2019
LA FRANCOPHONIE
QU'EST-CE QUE LA FRANCOPHONIE?
Le terme francophonie est apparu pour la première fois vers 1880, lorsqu’un géographe français, Onesime Reclus, l’utilise pour désigner l’ensemble des personnes et des pays parlant le français. On parle désormais de francophonie avec un « f » minuscule pour désigner les locuteurs de français et de Francophonie avec un « F » majuscule pour figurer le dispositif institutionnel organisant les relations entre les pays francophones.LA CONFÉRENCE DE BERLIN 1884-1885)
PLUS D'INFOS ICI ICI ICI
LA PORTE DU NON RETOUR. MAISON DES ESCLAVES. SÉNÉGAL
La maison des esclaves située à l'île de Gorée, au Sénégal, est un symbole de la traite négrière. En Afrique, il y avait plusieurs "portes sans retour" mais le Sénégal, à cause de sa situation géographique, a été un passage très important pour le commerce des esclaves. Effectivement, beaucoup des esclaves à destination de l'Amérique sont passés par ici pour traverser la "porte du non retour". Le gouvernement sénégalais s'est occupé de restaurer ce bâtiment et en a fait un musée consacré à la mémoire afin de rendre hommage à l'Histoire du peuple africain.
vendredi 15 mars 2019
mercredi 6 mars 2019
Queridas alumnas:
Este 8 de marzo no vendré a clase. Estaré formando parte de la marea de sororidad violeta que bañará las calles de Zaragoza con el objetivo de hacernos visibles, de hacernos escuchar, de reclamar nuestros derechos.
Queridas alumnas, vosotras sois el relevo de otras generaciones de mujeres que lucharon por nuestro presente. Gracias a ellas hoy tenemos acceso al mundo laboral, a estudios superiores, podemos decidir sobre nuestra maternidad, ocupar puestos de responsabilidad, tenemos derecho a votar y así un largo etcétera. Sin embargo todavía hay mucho por hacer. Este camino –que un día emprendimos juntas- no ha terminado: conciliación familiar, igualdad salarial, corresponsabilidad en el cuidado de hijos y de mayores, etc.
Queridas alumnas que ninguna ideología política, religión, situación familiar, condición económica os impida realizar vuestros sueños y proyectos de vida.
Mujeres libres y vivas, brillando como el sol, soñando como la luna.
Virginia Gómez
Virginia Gómez
mardi 19 février 2019
jeudi 14 février 2019
mardi 12 février 2019
mardi 29 janvier 2019
mardi 15 janvier 2019
VOYAGES. TV5 MONDE
Ils ont entre 11 et 14 ans, ils se retrouvent chaque matin au collège à Clermont-Ferrand. Aujourd’hui, ils parlent de leurs projets pour les vacances.
Découvrir la géographie et parler de ses voyages.
lundi 14 janvier 2019
jeudi 10 janvier 2019
mercredi 9 janvier 2019
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Léopold Sédar Senghor ( Sénégal, 9 octobre 1906 - France, 20 décembre 2001) est un poète, écrivain et homme politique sénégalais. ...